Josef Gulden

Différents facteurs tels que le statut PD-L1 et la charge mutationnelle dans le tissu tumoral influencent la réponse aux immunothérapies. D’autres paramètres, tels que le microbiome intestinal et le statut nutritionnel des patients, sont de plus en plus pris en compte.

L’équilibre entre l’amélioration attendue de la survie sans maladie et la mortalité liée au traitement influence toujours fortement la prise de décision concernant le moment auquel proposer une transplantation de cellules souches allogéniques auxpatients atteints de leucémie myéloïde aiguë. Mais d’autres considérations telles que la maladie résiduelle minimale ainsi que la cytogénétique et la génétique moléculaire jouent également un rôle. Aperçu.

Les patients atteints de LLC récidivante/réfractaire sans maladie résiduelle minimale (MRD négatifs) après 15 cycles de traitement par ibrutinib/vénétoclax peuvent dans un premier temps arrêter le traitement et le reprendre ou non en fonction de l’évolution du statut MRD, selon les résultats à long terme de l’étude VISION, présentés au congrès de l’EHA2023.

En l’état actuel des choses, l’inhibition du point de contrôle immunitaire n’améliore pas significativement la situation en cas de SCLC, lorsque l’ICI est administré en adjuvant à la chimiothérapie. Mais l’ajout d’un inhibiteur de l’angiogenèse change la donne. C’est du moins ce que suggèrent des données d’une étude de phase III chinoise.

L’introduction des inhibiteurs du point de contrôle immunitaire (ICI)a provoqué un changement spectaculaire de la situation thérapeutique des patients atteints de tumeurs pulmonaires avancées sans mutations pilotes traitables. L’efficacité à long terme est particulièrement intéressante.